Text by

Seung-Hwan Oh 

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'Impermanence_' series is to explore and capture through photography, an interpretation of contradictory conditions of the ethos of modern individuals within the current accelerated transition into the digital era.

 

We are in a time where social media creates a virtual network that supersedes cultural and geopolitical thresholds that provides an oversaturated and overexposed personal environment. The increased connectivity superficially decreases the isolation of the individual, but leads to an environment where individuals feel an overwhelming nostalgia for spontaneous yet intimate connection.

 

These series build on a conceptual basis of using microbial decay of film emulsion of portraits as a metaphor for a resistance to the disintegration of the ego that has fallen into spectacle. The objective is to inspire dialogue of negative and positive attributes in how the deconstructed portraits relate to the viewer and the world as a reflection of the current ethos. 

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Text in French

Seung-Hwan Oh

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Les séries ’Impermanence_’ explorent et posent un regard photographique sur les

conditions contradictoires de l’ethos chez l’individu d’aujourd’hui, à l’heure d’une transition

toujours plus rapide profonde dans l’ère du digital.

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Nous accédons à une époque où les réseaux sociaux créent un espace virtuel qui surpasse

les seuils culturels et géopolitiques et nous livrent à un environnement personnalisé

sursaturé et surexposé. La connectivité augmentée fait diminuer de manière superficielle

l’isolement de chacun, mais surtout elle conduit instantanément l’individu à ressentir

l’insoutenable nostalgie de la spontanéité et des relations intimes.

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Ces séries fondent leur concept sur une méthode qui implique la décomposition

microbienne de l’émulsion de film et donc des portraits, comme une métaphore d’une

résistance à la désintégration de l’ego qui se noie dans le spectacle. L’objectif est d’inspirer

un dialogue de caractéristiques positives et négatives dans la manière dont les portraits

déconstruis se rapportent au visiteur et au monde, tel un reflet de l’ethos actuel.